Initiative Polyter, pour l'agriculture et la reforestation, un antidote au dérèglement climatique
Alors que les scientifiques du GIEC ont alerté sur l'accélération du réchauffement climatique, l'Union africaine et 11 pays du continent se sont lancés dans un projet titanesque : la Grande Muraille Verte de Dakar à Djibouti.
L'objectif est de stopper la désertification du Sahel en restaurant 100 millions d'hectares de terres dégradées. Lancée en 2005, cette initiative devrait prendre enfin de l'ampleur dans les années qui viennent. En effet, lors de la COP26 à Glasgow, le FVC (Fonds Vert pour le Climat) et le FIDA (Fonds International de Développement Agricole) ont promis de financer ce rideau de verdure à hauteur de 143,2 millions de dollars d'ici 2025.
Mais concrètement, comment réussir à restaurer ces terres arides qui s'étendent sur une bande de plus de 8000 kilomètres de long et d'une quinzaine de kilomètres de large ?
Les arbres mettent beaucoup de temps à pousser... or aujourd'hui, face à la situation d'urgence, il faut aller encore plus vite. Au vu des enjeux, l'Afrique ne peut plus se permettre d'attendre : il s'agit de préserver la paix, d'éviter la famine en facilitant la production de nourriture, et la création d'emplois).
D'où l'intérêt de la technologie Polyter. Fiable, éco-responsable, durable et rentable, elle a démontré son efficacité et son efficience depuis plus de 25 ans sur l'ensemble des continents. Testée, validée et homologuée en agroforesterie, elle offre une approche holistique aux problématiques du monde végétal.
Avec à la clé des résultats bluffants, pérennes et durables : le cycle de développement des plantes est accéléré de 1,5 à 3 fois, tout en réduisant la consommation d'eau et d'engrais.
Repousser le désert, un challenge désormais à la portée de tous
En 30 ans, de Dakar à Djibouti, le désert du Sahara a avancé de 400 kilomètres. A titre de comparaison, cela représente l'équivalent de quatre fois la superficie de la France.
Cette catastrophe écologique, aux causes multiples (surpopulation, surpâturage et coupe pour le combustible), provoque non seulement une déforestation massive, mais entraîne aussi des tensions économiques et sociales.
Dans ce contexte, pour enrayer la progression des sables dans ces régions, où les conflits se multiplient, il existe une solution : planter différentes variétés d'acacias et d’autres variétés d’arbres. Le but est de capturer l'azote de l'air pour enrichir les sols naturellement et ainsi bonifier le travail paysan. Les arbres, en stabilisant et nourrissant les sols, récréent un microclimat et autorisent la mise en place de programmes agricoles.
Polyter permet de relever ces défis et et de répondre à l’urgence de résultats concrets sur un plan agronomique et environnemental. Il s'agit en effet du seul hydrofertilisant capable d'apporter aux plantes, eau et engrais en fonction de leurs propres besoins.
Philippe Ouaki di Giorno, le fondateur, souligne : « Polyter apporte la garantie de réussir des programmes d’ampleur : cette technologie assure une reprise quasi-totale de ces plantations d’arbres avec un ratio inégalé de près de 100%. Elle accélère aussi leur cycle de croissance jusqu’à 3 fois suivant les variétés. »
Polyter, un puits et un garde-manger permanent pour les plantes
Présenté sous la forme de granulés, Polyter va absorber l'eau de façon spectaculaire (jusqu'à 300 fois son poids sec initial). Les plantes et les arbres vont donc avoir à disposition toutes les ressources dont ils ont besoin pour un bon démarrage puis croître rapidement et se développer harmonieusement.
Une croissance qui est aussi optimisée par la particularité de cet hydro fertilisant : il baisse la température du sol pour supprimer toute source de stress. Les végétaux poussent ainsi beaucoup plus vite. De plus, à l'intérieur de Polyter, un engrais spécifique optimise le développement de la masse racinaire.
Avec, en prime, une innovation notable : « Les racines se greffent naturellement à Polyter, puisqu'il est pratiquement organique, il devient donc partie intégrante de la plante. Cela permet d'atteindre des rendements qualitatifs inégalés : de 50 à 300% selon les cultures. »
Une technologie éprouvée
Polyter est utilisé avec succès depuis près de 30 ans dans plus de 70 pays partout dans le monde, dans les zones arides et semi-désertiques (Sénégal, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Namibie, Maroc...), ou, dans des programmes de prestige comme le Festival des Fleurs de Disneyland Paris (France) et Jumeirah Palm Islands Al Nakheel Properties à Dubaï (E.A.U.).
Les principales caractéristiques de Polyter
- Fertilisation
Accélération des cycles de culture et du développement du chevelu racinaire ; réduction de la consommation d'engrais de 30 à 50% ; optimisation du rendement, de la qualité et de l'entretien de la production.
Accélération des cycles de culture et du développement du chevelu racinaire ; réduction de la consommation d'engrais de 30 à 50% ; optimisation du rendement, de la qualité et de l'entretien de la production.
- Hydro-rétention
Économise au moins 50 à 80% de la consommation d'eau, augmente les surfaces cultivées. Réduction des pertes par évaporation, percolation et lixiviation.
- Activation
Accélère les cycles de développement des plantes de 1,5 à 3 fois. Multiplie le développement des masses racinaires et foliaires de 3 à 5 fois. Augmente les rendements et la qualité des production.
Accélère les cycles de développement des plantes de 1,5 à 3 fois. Multiplie le développement des masses racinaires et foliaires de 3 à 5 fois. Augmente les rendements et la qualité des production.
- Régénération des sols
Stabilisation et fixation des sols par ventilation et décompactage. Restructuration de l'humus. Réduction des pertes par lessivage de la structure du sol. Augmentation de la vie du sol.
Stabilisation et fixation des sols par ventilation et décompactage. Restructuration de l'humus. Réduction des pertes par lessivage de la structure du sol. Augmentation de la vie du sol.
- Biodégradabilité
Totalement dégradable naturellement en 3 à 5 ans, selon le nombre de bactéries présentes dans le sol (Analyse certifiée par le COFRAC, Laboratoire INOVALYS, accréditation N°1-5755).
Totalement dégradable naturellement en 3 à 5 ans, selon le nombre de bactéries présentes dans le sol (Analyse certifiée par le COFRAC, Laboratoire INOVALYS, accréditation N°1-5755).
- Sécurité
Aucun résidu dans le sol ou dans les productions. Aucun danger pour la faune et les utilisateurs. N° Agrément alimentaire BAES-DMT-2019-0147-06. Analyse certifiée CE par LAUS GmbH.
Aucun résidu dans le sol ou dans les productions. Aucun danger pour la faune et les utilisateurs. N° Agrément alimentaire BAES-DMT-2019-0147-06. Analyse certifiée CE par LAUS GmbH.
La Polysphère, un écosystème de solutions développées autour de Polyter
Pour s'adapter à tous les besoins et permettre de concrétiser tous les projets de végétalisation, Polyter propose tout un écosystème d'innovations :
Pour s'adapter à tous les besoins et permettre de concrétiser tous les projets de végétalisation, Polyter propose tout un écosystème d'innovations :
- SkyVerde: Support végétal permettant la réalisation de toitures végétalisées avec la plus grande gamme végétale possible en créant la biodiversité et un microclimat.
- PolyTurba: Base à mélanger à un sol inerte tel que sable et cailloux permettant la création d'aménagements paysagers dans des lieux improbables comme sur Palm Island à Dubaï.
- PolyterFix: Technologie agissant sur le changement de la structure moléculaire de l'eau afin qu'elle ne soit plus gravitaire, donc verticale, mais avec un écoulement horizontal, et ainsi faire de grandes économies des apports en eau des cultures.
Qui est Philippe Ouaki di Giormo, l'inventeur du Polyter
Né en 1958 à Tunis, Philippe Ouaki di Giorno vit en Algérie jusqu’en 1962 avant de venir en France.
Dès son plus âge, il développe une sensibilité pour l’environnement l’amenant très vite à se poser une seule et même question : « Pourquoi ne pouvons-nous pas admirer de notre vivant un arbre grand et majestueux que l’on aurait planté soi-même ? ».
Philippe obtient en septembre 1977 son Diplôme de l’école d’horticulture Tecomah de Jouy en Josas (78), où il étudie l’agronomie, la physiologie végétale et l'horticulture.
Passionné et après des années de recherche, il met au point le Plantoïde, un composant qui a le pouvoir de générer en quelques mois des arbres centenaires, répondant ainsi à son rêve d’enfant. Il choisit ce nom en référence aux Humanoïdes de la science-fiction, dont il est un fervent lecteur.
En 1991, la profession et le monde horticole lui décerne le prix « Coup de chapeau du Jury » spécialement créé pour cette invention au salon Hortimat d’Orléans.
Philippe Ouaki di Giorno s’aperçoit très rapidement que le Plantoïde, dont l’objectif principal est l’élaboration d’une matière active, développe une masse racinaire aberrante de vingt fois supérieure à celle d’une plante traditionnelle.
Après un an de R&D, il réussit à diminuer l’augmentation de la masse racinaire, qui passe alors de 20 à 5 fois. C'est une petite révolution : sa solution est désormais utilisable et compatible dans tous les domaines de l'agriculture.
Début 1992, après être parvenu à un résultat optimum, il fabrique cette matière active qu’il nommera Polyter. Très vite, l'efficacité du Polyter est confirmée avec succès auprès des professionnels, amenant de très nombreux pays à son utilisation.
Dès son plus âge, il développe une sensibilité pour l’environnement l’amenant très vite à se poser une seule et même question : « Pourquoi ne pouvons-nous pas admirer de notre vivant un arbre grand et majestueux que l’on aurait planté soi-même ? ».
Philippe obtient en septembre 1977 son Diplôme de l’école d’horticulture Tecomah de Jouy en Josas (78), où il étudie l’agronomie, la physiologie végétale et l'horticulture.
Passionné et après des années de recherche, il met au point le Plantoïde, un composant qui a le pouvoir de générer en quelques mois des arbres centenaires, répondant ainsi à son rêve d’enfant. Il choisit ce nom en référence aux Humanoïdes de la science-fiction, dont il est un fervent lecteur.
En 1991, la profession et le monde horticole lui décerne le prix « Coup de chapeau du Jury » spécialement créé pour cette invention au salon Hortimat d’Orléans.
Philippe Ouaki di Giorno s’aperçoit très rapidement que le Plantoïde, dont l’objectif principal est l’élaboration d’une matière active, développe une masse racinaire aberrante de vingt fois supérieure à celle d’une plante traditionnelle.
Après un an de R&D, il réussit à diminuer l’augmentation de la masse racinaire, qui passe alors de 20 à 5 fois. C'est une petite révolution : sa solution est désormais utilisable et compatible dans tous les domaines de l'agriculture.
Début 1992, après être parvenu à un résultat optimum, il fabrique cette matière active qu’il nommera Polyter. Très vite, l'efficacité du Polyter est confirmée avec succès auprès des professionnels, amenant de très nombreux pays à son utilisation.